Congé sabbatique à la CSS: le séjour de Marianne en Tanzanie
Les collaboratrices et collaborateurs de longue date de la CSS ont la possibilité de prendre du temps pour réaliser des projets personnels. C’est le cas de Marianne Wiedemeier, qui a travaillé deux mois dans une école maternelle en Tanzanie pendant son congé sabbatique. Les échanges avec des enfants issus de milieux défavorisés non seulement l’encouragent et la touchent, mais changent aussi son regard sur la vie.
Un congé sabbatique aux grands effets
Après 17 ans à la CSS, Marianne profite de son congé sabbatique pour apporter son aide dans la ville d’Arusha. Elle offre son soutien à deux classes de 40 enfants issus de milieux défavorisés. Le «Flowers Children’s Centre» propose aux enfants de 2 à 6 ans des cours de lecture et de calcul pour les préparer à l’école et soulage leur famille.
Au cœur du quotidien scolaire
Marianne rencontre des enfants qui lui sautent au cou dès le premier jour et lui posent des questions en anglais. Le fait qu’elle parle un peu le swahili lui facilite la tâche: elle prête main-forte, sert les repas, fabrique du matériel scolaire ou dessine au tableau noir pour illustrer des mots.
Les visages heureux et la joie des enfants sont mon meilleur souvenir.
Des défis comme opportunité de grandir
La vie quotidienne sur place est marquée par des moyens rudimentaires, des pannes de courant et des espaces particulièrement exigus. «Je me retrouvais souvent hors de ma zone de confort. C’est grâce à ça que j’ai grandi.»
Parallèlement à son travail, Marianne noue de nombreux contacts, que ce soit lors des repas pris ensemble, dans la rue ou en voyage. Cela a donné naissance à des amitiés et même au parrainage d’une jeune fille prénommée Melissa, qui aspire à devenir médecin plus tard.
Une amitié qui unit au-delà des continents.
Elle est heureuse de suivre des cours en Tanzanie et d’apprendre chaque jour quelque chose de nouveau.
Apprendre, rire et rêver ensemble – la classe de Melissa en Tanzanie.
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Un retour avec de nouvelles perspectives
Les adieux touchent particulièrement Marianne. Ce n’est qu’en rentrant en Suisse qu’elle réalise à quel point son congé sabbatique a été marquant. «J’ai développé un regard différent sur la vie et je me sens plus satisfaite et plus sereine.»
Du temps pour les projets personnels
La CSS offre à ses collaboratrices et collaborateurs de longue date la possibilité de prendre un congé sabbatique pour des voyages, des formations continues ou un engagement d’utilité publique. L’exemple de Marianne montre que cela permet non seulement de réaliser son rêve, mais aussi de donner de précieuses impulsions pour la suite de sa carrière.
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